(Unità Naziunale – Lutte Internationale – Publié le 4 aout 2022 – Source) Le 24 juillet dernier, les forces d’occupation sont revenues pour prendre l’ancienne zone.
Il y en avait de toutes les formes et de tous les styles : à cheval, guides canins, dans le cloaque, en civil…
Ce dernier a procédé à plusieurs identifications arbitraires dans l’après-midi, s’adressant à des militants et indépendantistes.
Avant la chaîne humaine, ils ont identifié un groupe de personnes sur Five Streets. Ils ont quitté une rue latérale et se sont approchés de plusieurs personnes qui apportaient du matériel à la prison.
Cette identification a été complétée par d’autres personnes qui se sont arrêtées pour demander ce qui se passait.
Face à la question de savoir pourquoi ils les ont identifiés, ils ont contesté des « raisons de sécurité ». Alors que les personnes identifiées continuaient d’insister, la réponse est devenue, « ya os lo dira mi supérieur ».
La Chaîne Humaine elle-même sillonnait les rues de la vieille ville sous un dispositif policier totalement démesuré. La Praça da Galicia elle-même était complètement entourée de chaînes, et des rangées de policiers, armés jusqu’aux dents, nous attendaient dans les rues de la ville.
De plus, lors de la Chaîne humaine, ils ont affirmé que le journaliste de Galiciacontrainfo avait cessé d’enregistrer l’acte.
Avant la manifestation des jeunes, des policiers en civil se sont postés sur la Rua da Algalia pour approcher les jeunes femmes qui passaient dans cette rue. Ils n’identifiaient que des jeunes femmes et hommes de l’indépendance et l’attitude était très agressive et provocatrice, en fait ils se poussaient et se prenaient les bras à des moments différents.
Interrogés par l’un d’eux sur la raison de l’identification, ils ont répondu : « motivos te voy a dar yo ». Un seul leur a donné le numéro de plaque d’immatriculation.
Lors de la manifestation des jeunes, deux jeunes hommes du MPI ont été abordés par la police espagnole en civil alors qu’ils ramassaient une banderole dans la vieille ville. Nous avons attrapé nos chemises et nos cols, nous nous sommes insultés et l’un d’eux, bien qu’il marche avec des béquilles, l’a repoussé.
Face à la question de la part des garçons du pq qui les ont identifiés, ils ont répondu que « parce qu’ils le voulaient ». En leur demandant leur numéro, ils sont devenus encore plus agressifs.
Toujours lors de la manifestation des jeunes, plusieurs personnes qui faisaient partie d’une bande de Ceivar ont été identifiées sans leur donner de raison. Deux personnes qui passaient dans la rue à ce moment-là ont fait un commentaire sur l’utilisation disproportionnée de l’appareil, et les ont également identifiées, ainsi que trois jeunes hommes qui n’avaient rien à voir avec l’affaire, mais qui portaient des cheveux un peu longs et des boucles d’oreilles en leurs oreilles, et qui en plus cachearom.
La manifestation des jeunes elle-même s’est également déroulée encerclée par la police, un groupe de policiers en civil devant et avec plusieurs fers à la tête et fermant la manifestation.
A la fin de la manifestation, la Rua das Ánimas a été traversée par des anti-émeutes, sans donner aucune explication.
Pendant le concert q fixerom MPI et Briga il y avait un fort dispositif de police à l’entrée d’Algalia.
25 juillet
Dans plusieurs entrées de la ville, il y avait de forts contrôles de police, dans lesquels les bus qui se rendaient à la manifestation du BNG et les voitures qui se rendaient aux différentes manifestations qui parcouraient les rues ce jour-là s’arrêtaient.
À Alameda, la police locale a tenté d’expulser les postes avec du matériel politique, toujours placé avant les manifestations. Bien sûr, aucun post n’a bougé de sa place, et pourtant d’autres ont été postés.
Ces tentatives continues d’intimidation des militants et sympathisants sont déjà un classique de la police espagnole.
On en a marre de vous !
A bas les forces d’occupation !
Vive la Galice ceive, socialiste et féministe !
Produit CORSU E RIBELLU
