L’Assemblée de Corse

L’adhésion politique autour de cette monumentale feuille de route, avec ses atouts et ses imperfections, est la démonstration, assez rare, de la crédibilité de notre institution devant le peuple et devant l’État

Au lendemain du vote de l’Assemblée de Corse, une nouvelle phase s’ouvre pour le Padduc, celle des avis.

Les nationalistes de Corsica Libera se félicitent de l’adoption du PADDUC. Pour Josepha Giacometti, les amendements du parti incluent dans le texte final font figure de victoire : introduction d’une « Charte architecturale, la pinède de Calvi dans les « espaces remarquables », suppression de l’accès au site de la Testa Ventilegna, réserve mentionnée pour le port de la Carbonite…  Pour eux le …

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Le PADDUC : un acte politique majeur ! C’est l’affirmation faite ce matin par le groupe Femu a Corsica à l’occasion d’une conférence de presse.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Le président de l’Exécutif Paul Giacobbi et le préfet de Corse Christophe Mirmand ont signé en fin de semaine dernière une convention de rapprochement des personnels Europe de l’Etat et de la CTC.

Le rôle de Femu a Corsica a été central dans l’adoption du Padduc. En partant d’un document comportant plusieurs ambiguïtés, de nature à mettre en cause une philosophie générale, Femu a Corsica, qui avait éclairé les enjeux en conférence de presse 48h avant le débat, a contribué à édifier un compromis en mesure d’engager la Corse vers un développement durable.

On ne connaît pas encore la date formelle du dépôt de bilan, mais il a été annoncé officiellement. Le PDG de Transdev, Jean-Marc Janaillac, a fait savoir sur France Info que « cinq ou six » repreneurs seraient intéressés par la SNCM. 

A présent que le bilan de l’entreprise a été déposé auprès du Tribunal de Commerce, de nombreuses questions se posent sur les conséquences économiques et sociales. Pour les salariés ajacciens notamment, l’incertitude se mêle à l’angoisse.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Une compagnie publique, de préférence sous le contrôle de la Corse, c’est le credo à nouveau manifesté par le STC de la SNCM.