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« Alors que nous étions en session, Nous avons appris avec une joie immense la libération de notre Secretaire national et ami Petru PAOLI saluée sous les applaudissements des élus de la majorité.

(Corse Matin) « Le cas de Sampieru illustre parfaitement le cas des prisonniers politiques en fin de peine. Conditionnelle ajournée puis refusée, rapprochement refusé, tel est le quotidien de nos prisonniers, otage d’un État incapable de respecter ses propres lois. »

(Corse Net Infos) Sampieru AndreaniI a été libéré le 9 août 2016 de la prison de Borgu après 5 ans d’incarcération.

(Alta Frequenza)  L’ancien prisonnier politique Sampieru Andreani, qui a quitté en début de semaine la prison de Borgu, tenait ce samedi matin à Ajaccio une conférence de presse aux côtés de l’Associu Sulidarità.

(FRANCE 3 CORSE) Lors d’une conférence de presse qui s’est tenue samedi 13 août dans les locaux de l’association Sulidarità, à Ajaccio, l’ancien détenu, Sampieru Andreani, libéré le 9 août dernier, est revenu sur les conditions d’incarcération des « prisonniers politiques ».

Ce matin, Sampieru Andreani (<–Lien ici) et l’Associu Sulidarità tenaient une conférence de presse pour dénoncer une nouvelle fois la répression coloniale. Retrouvez en bas de l’article son interview sur Alta Frequenza. Voici le texte de la Conférence de presse : 

(article du 9 août 2016 18h00) Sampieru Andreani, âgé d’à peine 26 ans, est interpellé le 15 avril 2011 dans une double enquête dont une en 2009 pour une explosion sur la plage de Pietrosella. Il est dans un premier temps incarcéré à la prison de Villepinte, puis rapproché en juin 2015, après son procès du 3 juillet 2014 où il est condamné …

Voici le discours de Cathy Bartoli, vice-Présidente de l’Associu Sulidarità, lors du débat samedi aux Ghjurnate Internaziunale di Corti :

Hier soir sur Aiacciu se tenait une réunion publique sur la situation des prisonniers politiques, des Droits humains et de l’Amnistia.

Alors que se développe chaque jour un peu plus la mobilisation populaire autour de l’amnistie des prisonniers politiques, le gouvernement français et son appareil administratif et judiciaire se livrent à une agressive surenchère contre nos frères incarcérés.