Corsica Libera

(article du 13 juillet 2015) Ce lundi 13 juillet 2015 le FLNC Union des Combattants a envoyé un communiqué de presse alors que le Ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve est en Corse en visite protocolaire. Ce lundi matin, le magazine In Corsica l’a authentifié.          

Convoqué à 13h30, le délibéré est tombé à 19h00, relaxe pour Sébastien Poilblan, militant de Corsica Libera et de Sulidarità. 

(Alta Frequenza) Le Conseil Permanent Corso-Sarde a été officiellement installé vendredi dernier à l’Assemblée de Corse à Ajaccio.

L’associu sulidarità apporte son total soutien à Sébastien Poilblan qui est une énième fois convoqué devant le tribunal d’aiacciu demain mardi à 13h30 pour une procédure liée à un refus de prélèvement ADN.

(Alta Frequenza) Corsica Libera organisait samedi une conférence de presse à l’Université de Corse à Corte.

(Article du 10 juillet 2016) Après le refus catégorique du Premier Ministre adressé aux élus du gouvernement corse, concernant les prisonniers politiques (Rapprochements, Amnistie), la langue Corse (Cuufficialità), le statut de Résident, et après que le Le Tribunal d’Instance de Paris ait jugé l’objet du STC illicite. Voici que 8 patriotes passeront devant les tribunaux coloniaux.

Samedi dernier (9 juillet 2016) Corsica Libera tenait sa cunsulta à Corti en présence de nombreux militants de son mouvement mais aussi des élus de l’Assemblée de Corse dont son Président, Jean-Guy Talamoni.

(Corse Matin) Les délégués des différentes pieve de Corsica Libera étaient réunis en Cunsulta hier après-midi à Corte. Réunion qui se tenait dans les locaux de l’Université de Corse en présence également de Jean-Guy Talamoni, président de l’Assemblée de Corse, et de François Sargentini, président de l’Odarc.

(CORSE NET INFOS) Le message était très clair sur la banderole de la face de droit à Corte ce samedi qui hébergeait une réunion de Corsica Libera : « Amnistia ». Plusieurs points ont été abordés après la visite de Manuel Valls

(CORSE MATIN) Réunie en Cunsulta ce samedi à Corte, en présence de Jean-Guy Talamoni, président de l’assemblée de Corse, et de François Sargentini, président de l’ODARC, Corsica Libera a jugé l’attitude de l’Etat « méprisante et inacceptable », selon les propos de son porte-parole Eric Simoni.