Foncier

Le Préfet de Corse du Sud avait suspendu, en avril 2013, la révision du P.L.U. de Pruprià car celle-ci créait ou étendait illégalement des zones à urbaniser.

(Article du 23 septembre 2013) C’est un rapport du BRGM qui met le feu aux poudres. Censé trouver les moyens de stopper le phénomène d’érosion qui ronge les plages corses et détruit le littoral de la plaine orientale, il propose, surtout, de ne rien faire, faute d’enjeux économiques !

Si les politiques cherchent tant à s’approprier le débat sur le foncier, rien d’anodin. La problématique joue déjà un rôle moteur – voire stratégique – à l’horizon des prochaines échéances électorales et pour les deux ans à venir.

L’environnement, au rôle et à la barre du tribunal administratif de Bastia qui avait choisi ce thème, cette année, pour son audience solennelle de rentrée. 

Le Préfet de Corse du Sud a suspendu le P.L.U. de Prupià en raison de ses nombreuses et extrêmement graves illégalités. Et ce jusqu’à ce que les modifications demandées aient été adoptées par le conseil municipal.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – L’Association Foncière Pastorale de Lozzi vient de réaliser un nouveau pas en avant dans la perspective de la mise en œuvre d’actions concrètes.

Le littoral et les plaines de l’île à la nature jusque là encore préservée, sont aujourd’hui bétonés un peu plus chaque jour. Souvent de façon illégale, pour l’intérêt de quelques-uns et au mépris de la population locale. Il y a urgence à agir.

Paul Giacobbi n’a pas fait, loin s’en faut, l’unanimité. Mais il a eu le mérite de relancer et élargir le débat.

Mon point de vue et les amendements au projet de loi pour l’accès au logement et un urbanisme rénové examiné actuellement à l’Assemblée nationale

(Maria Lanfranchi – Alta Frequenza) – Adrien Scatena, propriétaire exploitant du domaine Rovani à Coggia, a tenu a réagir dans un communiqué suite aux derniers rebondissements sur le domaine justement.