Elections

Les dernières élections municipales ont été l’occasion de changements importants au sein du paysage politique corse. Corsica Libera rend aujourd’hui publique son analyse à cet égard. 

Porte-drapeau de l’autonomie depuis un demi-siècle Edmond Simeoni se réjouit de la donne dessinée par les municipales. En attendant mieux

A l’issue des élections municipales et à une semaine du débat historique et ultrasensible du statut de résident à l’Assemblée de Corse (CTC), Corsica Libera fait le point sur les résultats électoraux et la nouvelle donne politique insulaire.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Les municipales ont, sans aucun doute, engendré la mutation la plus importante du paysage politique corse de ces dernières années. Ajaccio et Bastia ont changé de majorité municipale, avec l’élection, une première, d’un maire nationaliste autour d’une large coalition dans la capitale de la Haute-Corse.

(Frédéric Bertocchini – Alta Frequenza) – Dans un communiqué de presse, Europe Ecologie Les Verts réagit après l’élection municipale à Ajaccio. Selon les Verts, ces élections « s’achèvent dans un climat tendu sur la ville » et revient notamment « sur la suspicion » qui plane sur « ce scrutin ».

(A & F.Bertocchini – Alta Frequenza) – Quelle nouvelle donne politique pour la Corse après le remaniement ministériel et le résultat des élections municipales?

Invité de l’émission Cuntrastu, le conseiller général d’Ajaccio a commenté l’actualité insulaire. Il a livré son sentiment sur l’échec des municipales et ses pistes de réflexion pour reconstruire la gauche

L’élection municipale d’Ajaccio s’achève dans un climat tendu sur la ville. Le rassemblement voulu par Simon Renucci, auquel a pleinement participé EELV, perd de 281 voix face à l’UMP de Laurent Marcangeli et Marcel Francisci.

Les élections dans les petites communes, notamment de l’intérieur, ont été le théâtre des habituelles combinaisons et jeux politiciens n’ayant que peu à voir avec les grands débats politiques (gauche-droite, progressisme-conservatisme ou clanisme-nationalisme).

La raclée subie par le gouvernement aux municipales de 2014, pour monumentale qu’elle soit, n’en demeure pas moins le lot habituel des majorités présidentielles en période de crise. C’est même une des constantes de la Vème à l’agonie…