
L’astreinte a été fixée le 25 octobre par les prud’hommes à 6 000 euros par jour et par salarié mais de manière provisoire. Sa liquidation doit permettre le versement d’une somme forfaitaire dont le montant reste cependant à l’appréciation de la juridiction. « Cette somme vise à contraindre le débiteur d’une injonction qui ne s’est pas exécuté volontairement ce qui est le cas, ici, d’Air France, a plaidé l’avocate des 17 salariés bastiais.
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