
Et quand on n’a pas grand chose à dire, notre presse se spécialise dans le « marronnier », chronique récurrente pour une presse depuis longtemps enterrée.
S’agissant de l’hebdomadaire Le Point, grand spécialiste botanique de la floraison du marronnier, on sait que chaque année, au fil des semaines, le lecteur aura droit successivement au palmarès respectifs des cliniques et des hôpitaux, des lycées et des collèges, des universités et des écoles supérieures en tout genre, à l’analyse des prix immobiliers à Paris, en province et en périphérie, aux arnaques en tout genre et dans tous les domaines du crédit aux stages en passant par les petits boulots, les agences de voyages, sans oublier les pompes funèbres et enfin naturellement, au moment des vendanges, à une analyse rétrospective et prospective du rapport qualité/prix de chacun de nos vignobles.
Le recul que me donne ma mort annoncée me permet de me dispenser des ces lectures mortellement ennuyeuses et de m’informer dans la presse internationale qui s’efforce quant à elle de répondre à la crise par la qualité, le courage et parfois l’engagement.
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