
Le président du Conseil général 2A, qui s’est prononcé contre, poursuit ainsi : « après des années d’apaisement retrouvé, elle repolitise un élément central de notre identité et de notre patrimoine commun, en en faisant de nouveau un étendard, source de tensions et de crispations ». De son côté, Michel Stefani, pour le groupe communiste et citoyen du Front de gauche a « défendu un amendement à la motion de Corsica Libera ».
« C’est pour nous l’affirmation d’un bilinguisme assumé et respectueux de notre diversité comme de notre histoire, la volonté de poser dans la sérénité les conditions d’un débat fécond pour préserver et promouvoir la langue corse sans pour autant diviser celles et ceux qui ont choisi de vivre en Corse quelle que soit leur origine. »
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