
Certes Jean-Jacques Panunzi, dans son discours d’introduction, a donné quelques coups de canif dans la bonne ambiance régnante.
« Je n’entend pas commencer une carrière de dictateur », a-t-il notamment dit en récusant les accusations d’arbitraire, mais il a tout de même bien balisé le terrain. L’assemblée départementale est à présent constituée de groupes politiques, ce qui n’était pas le fait dans la précédente mandature de manière formelle.
Il y a une droite, une gauche et un groupe nationaliste clairement identifiés. A noter que Stéphane Vannucci a finalement intégré le groupe majoritaire, ce qui porte la majorité à douze sièges. Les nationalistes, qui normalement n’auraient pas du accédé à des postes des responsabilités ont reçu l’appui inattendu de Nicolas Alfonsi pour l’accession à une commission. Nouvelle donne politique ou continuité ? Ecoutons le sentiment du président du Conseil Général de Corse-du-Sud.
 
 
				
