Tag Archives: Municipales

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – La Ville d’Ajaccio a inauguré ce lundi le laboratoire municipal de langue corse.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Quelques jours après avoir pris officiellement ses quartiers du côté de la Maison Carrée, le nouveau maire d’Ajaccio, Laurent Marcangeli, a réuni ce lundi le conseil municipal.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Le nationalisme corse est-il de droite ou de gauche, ou plutôt y a-t-il un courant du nationalisme qui penche à droite et l’autre à gauche, ou plutôt encore verra t-on lors des prochaines élections territoriales le courant dit modéré aller vers la droite et le courant indépendantiste se diriger vers la gauche?

(CORSE NET INFOS) Au lendemain de l’élection municipale, le groupe Aiaccini, faisant partie de la liste de coalition menée par Simon Renucci, a tenu conférence de presse au café Napoléon pour faire part de son analyse sur le scrutin. Le mouvement ne cache pas une certaine déception et se déclare scandalisé par l’évolution de la campagne électorale. Il tire à boulets …

En conférence de presse le 11 février dernier, le groupe nationaliste d’opposition Aiaccini a livré son analyse de l’élection municipale d’Ajaccio qui a vu la victoire de Laurent Marcangeli.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Se déplacer autrement pour vivre mieux, ce sera l’objectif du nouveau Plan de Déplacements Urbains pour le Pays Ajaccien.

Après le résultat de l’élection partielle ajaccienne du 1er février 2015, et au-delà de l’indicible incompréhension qui nous a étreints, il faut affirmer quelques valeurs, comme une réponse à tous ceux qui ont fait défection et à ceux qui ont porté ailleurs leurs suffrages.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – « La dénonciation de la fraude n’était pas un projet politique » ! C’est ainsi que Paul Digiacomi et Julia Sanguinetti ont analysé à travers une sorte de débriefing les conséquences du fiasco électoral ajaccien pour la gauche.

En 2004, avec la liste d’union nationaliste, le nationalisme dit modéré réussissait un véritable hold-up. N’ayant eu aucun élu en 1999, durant le processus de Matignon, où à son grand dam seule Corsica Nazione, forte de ses huit élus, avait le privilège de négocier directement avec le gouvernement Jospin, les « modérés » allaient rétablir la situation.

François Santoni, étudiant, militant de Corsica Libera et de Ghjuventù Indipendentista a donné son analyse sur les derniers événements lors du débat « vivre ensemble » en place publique organisé par Corse Matin et RCFM enregistré au sein de l’Università di Corsica.