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Dans un communiqué publié jeudi 13 février, François Tatti et Emmanuelle de Gentili prônent le vote utile au 1er tour. Ils ferment la porte à Jean Zuccarelli au second, sans vouloir installer Gilles Simeoni ou Jean-Louis Milani dans le fauteuil de maire de Bastia…

François Tatti et Emmanuelle de Gentili, présenteront leur liste lundi. Dans un communiqué is rappellent l’enjeu de la prochaine consultation et se disent « prêts à partager le pouvoir, et donc prêts à faire des ouvertures ». » Nous fermerons la porte à personne sauf à ceux qui comme Jean Zuccarelli et son parti veulent gouverner seuls. »

Certes, nous sommes en plein dans la campagne pour les municipales, mais celle-ci semble avoir un peu de mal à se lancer dans la ville. Qu’à cela ne tienne, plutôt que d’interroger commerçants, responsables associatifs, élus ou candidats, c’est vers nos anciens que nous avons souhaité nous tourner.

Celui qui, dans le sillage de José Rossi, fut adjoint de Charles Ornano puis de Marc Marcangeli, premier vice-président du Conseil général de Corse-du-Sud, mais déjà candidat dissident à la législative de 20O7, table sur l’expérience.

Il y a d’abord le maire sortant, Tony Sindali, qui fait le mort. Officiellement, il n’est toujours pas candidat…

« Ce soir nous franchissons une étape supplémentaire vers la prise de responsabilités en matière de gouvernance du territoire ajaccien.

Ajaccio passée au peigne fin (après les grandes tendances évoquées dans notre précédent dossier) : point fort, l’interview de Laurent Marcangeli, principal adversaire de Simon Renucci (lequel s’était exprimé dans notre numéro de janvier).

« L’historique de la liste que nous présentons doit être rappelé une nouvelle fois : il s’agit du rassemblement de tous les mouvements nationalistes avec une ouverture sans précédent sur la société civile.

U Riacquistu di Portivechju inaugure sa permanence ce dimanche 16 février à 11h00, 12 rue joseph Pietri, place de l’église. Venite Numarosi, ci sarà dà bià è dà manghjà

« Notre démarche s’inscrit dans le droit fil des engagements qui sont ceux du mouvement national. Engagements qui reposent sur la conscience d’appartenir à un peuple dont les droits sont niés sur sa terre et dont nous voulons la reconnaissance, fondée sur sa langue, sa culture, son identité.