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(FRANCE 3 CORSE) Une réunion entre les maires de Haute-Corse et le préfet, Alain Thirion, en présence des services de sécurité, s’est déroulée jeudi à Bastia pour évoquer les mesures d’état d’urgences après les attentats de Paris.

(Corse Matin) Les policiers pourront être armés en permanence, y compris hors service, sur la base du volontariat et en prévenant leur hiérarchie, selon une note provisoire de leur direction publiée jeudi à la suite des attentats survenus vendredi.

(Corse Matin) En début de semaine, la LFP a annoncé que « La Marseillaise » serait jouée avant chaque match en hommage aux victimes des attentats de vendredi dernier. Une mesure symbolique qui tourne au casse-tête pour les Corses

RENFORCEMENT DES MESURES DE SECURITE ET HOMMAGE D’AVANT MATCH.

(Corse Matin) Dans le cadre de l’état d’urgence, et sous l’autorité des deux préfets de corse, Christophe Mirmand pour la Corse-du-Sud et Alain Thirion pour la Haute-Corse, sept perquisitions administratives ont eu lieu ce vendredi matin à Ajaccio et à Bastia.

(FRANCE 3 CORSE) Des perquisitions administratives ont eu lieu vendredi en Corse dans le cadre de l’état d’urgence décrétée suite aux attentats de Paris, a-t-on appris auprès de la préfecture de région

(Alta Frequenza) Alors que les rencontres de football de Ligue 1 et de Ligue 2 sont maintenues ce week-end, le ministre de l’Intérieur a en revanche annoncé que celles-ci se joueront sans les supporters des équipes en déplacement.

(Corse Matin) Les Corses présents à Paris se sont rassemblés, « dans la crainte » avec les autres Parisiens pour rendre hommage mais aussi pour « se render compte » de l’horreur

(FRANCE3CORSE) Les matchs de Ligue 1 et de Ligue 2 auront lieu ce week-end mais sans les supporters des équipes jouant à l’extérieur a indiqué le ministère de l’Intérieur. Une décision qui tombe quatre jours avant le derby corse SC Bastia – GFC Ajaccio.

L’UGTG condamne avec la plus grande fermeté le carnage perpétré à Paris le 13 novembre dernier mais ne participera à aucune union sacrée ni avec l’Etat colonial français, ni avec ses valets locaux ni avec le patronat.