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A l’occasion de la sortie de son nouveau livre, « Corse : entre néo-clanisme et mafia », nous avons interrogé le leader nationaliste sur l’histoire et le développement actuel du banditisme insulaire. Selon lui, la Corse pourrait devenir, d’ici quelques années, « une terre mafieuse ».

Les rapports d’expertises avaient conclu que la poursuite du chantier ne pouvait pas être envisagée sur la base de la structure actuelle et les assurances préconisé de raser le bâtiment et de reconstruire. Ce à quoi s’est engagé le porteur du projet, Charles Capia, invité du journal de France 3 Corse, le 6 juin.

Après le communiqué, le 3 juin, d’un groupe anonyme marquant, en « lingua nustrale », l’arrivée en Corse de Manuel Valls, le FLNC du 22/10 communique à son tour, ce 4 juin. Dans un texte politique de 6 pages en langue française, les clandestins dénoncent  « l’attitude ultra-jacobine de la France » .

Ce lundi 3 juin 2013 : Un courrier déposé dans la nuit de dimanche à lundi dans la boite aux lettres de France Bleu RCFM revendique l’attentat du dimanche 26 mai commis contre les locaux du GIR (groupement d’intervention régional) à Ajaccio.

Le Front de libération nationale de la Corse (FLNC) s’est dit prêt mardi à reprendre les armes pour que Paris reconnaisse les droits nationaux des Corses, au deuxième jour de la visite du ministre de l’Intérieur Manuel Valls dans l’île.

Dans la nuit de dimanche à lundi, vers minuit, les pompiers ont été alertés par l’incendie d’une résidence secondaire, en fin de construction, sur la commune de Giuncheto.

Manuel VALLS,  ministre de l’intérieur est attendu lundi et mardi prochain en Corse ou il se rend pour la quatrième fois depuis son installation place Bauveau.

Un dispositif de mise à feu couplé à une bouteille de gaz a été découvert vendredi dans une maison en travaux à Olmiccia en Corse-du-Sud. Le dispositif a fait long feu. Une partie de l’étage de l’habitation a brûlé.

Visée par un attentat le 13 mars à Ajaccio, les experts ont indiqué que la grande surface devait être rasée. Les fondations de la structure de près de 9.000 m2 ont été trop fragilisées par les explosions, pour que la poursuite des travaux puisse être envisagée.

Les fondations de la structure en cours de construction étaient, à l’évidence, trop fragilisées pour que la poursuite des travaux puisse être envisagée. La rumeur courait. Aujourd’hui, elle semble avérée.