En Corse, le débat sur le statut de résident prend de plus en plus d’ampleur avec une majorité de Corses qui, à travers leurs représentants à l’Assemblée de Corse, est favorable et une opposition rigide du gouvernement qui se recroqueville derrière la loi et la constitution françaises et le droit européen.

Dans la nuit du dimanche 3 au lundi 4 août, la paillote A Casella à L’Île-Rousse a été détruite par un incendie, vers 4 heures du matin, vraisemblablement d’origine criminelle, d’après les enquêteurs présents sur le site.

Selon Alcudina, Les enquêteurs de la brigade de Porto-Vecchio ont agit en toute discrétion pendant deux mois afin de ne pas éveiller les soupçons du pyromane. De la mi-mai à fin juillet, les départs d’incendies se sont succédés sur la commune de Sotta, au rythme de un à deux par semaine.

Attendu depuis des décennies, non seulement par les Calvais, mais aussi par les habitants de toute la microrégion, la création d’un centre culturel est un projet plus que jamais d’actualité.

(France 3 Corse 2 aout 2014) Jamais le contexte politique insulaire n’aura été aussi favorable à une union des deux pôles du nationalisme- Femu a corsica et Corsica Libera. Et pourtant, les deux branches continuent de se quereller. Pour des bisbilles post-municipales.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Poursuite des entretiens que nous avons réalisés aux Ghjurnate di Corti avec les différents courants politiques qui avaient répondu à l’invitation de Corsica Libera. 

Aux Ghjurnate internaziunale di Corti, le 3ème débat organisé par Corsica Libera a permis de mesurer le chemin parcouru. Les élus de gauche et de droite invités, tous progressistes, ont fait preuve, malgré des divergences idéologiques, d’une assez belle unanimité tant sur les sujets abordés que sur les moyens d’actions pour les concrétiser.

Elus de gauche, de droite et indépendantistes étaient réunis, hier à la tribune des Ghjurnate di Corti pour rappeler, après l’initiative du FLNC que le temps de la maturité est venu. Celui des élections… approche.

Au nom du groupe CGT au Conseil économique, social et culturel de la Corse, Jean-Claude Graziani est intervenu, lors de la séance du CESC du 30 juillet, sur le thème de la réforme territoriale. Il a notamment indiqué :

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Certes la droite disons non républicaine, la gauche, à qui l’on peut attribuer le même qualificatif, et une partie seulement du mouvement nationaliste n’ont pas conclut hier un accord de partenariat formalisé.