Mouvement National

Élus et militants du mouvement nationaliste veulent alerter sur le risque de disparition imminente, prévue au 1er janvier prochain, du régime dérogatoire d’exonération fiscale issu des arrêtés Miot.

Femu a Corsica entend mobiliser pour la prorogation des arrêtés Miot. Femu a Corsica appelle à la mobilisation générale pour la prorogation des arrêtés Miot.

Réunis ce mercredi devant la gare de Bastia, les cheminots du STC dénoncent des dysfonctionnements au sein des chemins de fer de la Corse et demandent des « décisions politiques et financières ».

Le 11 octobre 2012 (www.unita-naziunale.org) [10h00] : Élus et militants du mouvement nationaliste veulent alerter sur le risque de disparition imminente, prévue au 1er janvier prochain, du régime dérogatoire d’exonération fiscale issu des arrêtés Miot. Voici le texte de la conférence de presse : 

Les Chemins de Fer de la Corse : le STC tire la sonnette d’alarme. Le STC des chemins de fer de la Corse tire une fois encore la sonnette d’alarme, et dénonce les problèmes à répétition sur les AMG 800.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Avant le conseil d’administration des Chemins de Fer de la Corse qui se déroulait ce mercredi après-midi, le STC Chemins de Fer a tenu à alerter les administrateurs de la société d’économie mixte gérant les destinées de la compagnie.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Tout le monde sur le pont du navire politique et tout le monde dans la rue ! C’est un véritable appel à la mobilisation générale lancé cet après-midi (mercredi) par Femu a Corsica.

Alain Mosconi, Secrétaire National Des Transports STC, écrit à Frédéric Alpozzo, Secrétaire Général de la CGT Marins de Marseille ainsi qu’au DRH, Monsieur LE CARPENTIER Thierry : Voici les textes dans leurs intégralités.

Femu à Corsica : Pour une prorogation des arrêtés Miot.  Femu à Corsica appelle à la mobilisation générale pour la prorogation des arrêtés Miot. Le 1er janvier 2013, la Corse sera engagée dans un processus de retour au droit commun en matière d’imposition sur les biens immobiliers transmis par voie de succession.

Le 5 avril 2012, le jeune bizkaitar Iñigo Cabacas Liceranzu, 28 ans, s’effondre dans une rue de Bilbo. Une balle dans la tête. En caoutchouc, certes, mais le coup, tiré par un membre de la Etzaintza, police autonomique basque, provoque la mort du jeune homme, le 9 avril, à l’hôpital de Basurto.