Femu A Corsica

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – La violence de la société corse vue par des jeunes lycéens ! On se souvient de la polémique née après le débat improvisé au lycée professionnel Jules Antonini d’Ajaccio autour du thème de la violence en Corse.

Jean-Jacques Panunzi, pour qui l’arrêt immédiat de la violence est un « préalable à tout débat », éprouve beaucoup de mal à digérer le sort qui a été réservé à sa motion lors de la dernière session de l’assemblée de Corse.

La mobilisation autours du Sporting Club de Bastia gagne le terrain institutionnel, avec la réaction de Femu A Corsica qui communique suite à la dernière décision prise par la LNF contre le SCB.  Corsica Libera, puis Gilles Simeoni, ont déjà pris position pour défendre le Sporting…

Suite au dépôt par Mr Jean Jacques PANUNZI d’ une motion dite de « condamnation de la violence », FEMU A CORSICA rappelle qu’elle inscrit son action dans le champ démocratique, et que toute son action politique vise précisément à faire disparaître, par la construction démocratique et le développement économique, social et culturel, toutes les formes de violence qui meurtrissent …

Session de l’Assemblée de Corse des 20 et 21 décembre 2012 :Question orale posée par Agnès Simonpietri : Maitrise par l’Assemblée des orientations pour la gestion des déchets.

Question orale de Femu  A Corsica déposée par Jean Biancucci de Femu A Corsica lors de la session du 20/21 décembre 2012.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Le conseiller exécutif, Pierre Ghionga, a présenté avant hier (jeudi) devant les élus de l’Assemblée de Corse, le projet de co-officialité de la langue corse.

Selon le sondage établi par l’Institut Opinion of Corsica, 68 % des Corses émettent des doutes face au discours de Manuel Valls concernant la violence sur l’île. Il en est de même pour les politiques locaux.

En juillet dernier Femu A Corsica communiquait sur ce dossier épineux en soutenant Jacques Fieschi et Jean-Paul Poletti soumis à une pression fiscale depuis près de 15 ans. Leurs tracas ont débuté sous l’époque du pro-Consul le préfet Bernard Bonnet, en  1998, avec un harcèlement permanent de tous les Corses ou presque. En 2009 ils s’étaient enchainé à l’Assemblée de Corse pour se faire …

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Circuler, y a rien à voir, ou plutôt il n’y aura rien à revoir, du coté de la constitution, des institutions, du statut fiscal dérogatoire concernant le foncier, l’immobilier et tutti quanti.