« Le Tribunal d’Instance de Paris juge l’objet du STC illicite. Il conteste la recevabilité de sa candidature aux élections TPE de fin d’année…!
Manifestement, dans ce domaine comme dans d’autres, la représentativité de notre courant d’idées est ignorée, voire méprisée par les institutions judiciaires et/ou politiques. Le STC est depuis longtemps déjà le premier syndicat de l’île. S’en prendre à lui en ces termes, injustes et brutaux, revient à nier notre existence même, en tant que communauté de droits. Nous contestons vivement cette décision inique et saurons, au cours des prochaine heures, y opposer une détermination collective et forte. »

Ainsi, le SYNDICAT DES TRAVAILLEURS CORSES (S.T.C.) porte des revendications de type politique, aux côtés de mouvements se réclamant du nationalisme corse (pièces n°4, 5, 11).
Elu à la présidence du Conseil de prud’hommes de Bastia en janvier 2016, Monsieur BIAGGI, Secrétaire national chargé de l’Union Locale de Bastia au sein du SYNDICAT DES TRAVAILLEURS CORSES (S.T.C.), a prononcé un discours d’installation éminemment politique, affichant ouvertement son rattachement au mouvement nationaliste (pièce n°6).
Monsieur BIAGGI a ainsi qualifié de non-respect de l’Etat de droit le fait de refuser de reconnaître le statut des prisonniers politiques et de ne pas appliquer la loi sur le rapprochement familial aux détenus corses (pièce n°7).
STC







