(CORSE MATIN) L’homme politique qu’est Gilles Simeoni, président de l’Assemblée de Corse, parle de « prisonniers politiques corses », à un Premier ministre, Manuel Valls, qui n’a pas appris cette notion dans le code de procédure pénale.
Gilles Simeoni, dans le courrier qu’il a adressé hier à ce dernier afin de l’inviter à réfléchir sur la question, à l’occasion de son déplacement dans l’île prévu lundi, distingue la théorie et la pratique. Une lettre qui procède d’un échange avec l’association Sulidarità et les représentants de la Ligue des droits de l’homme à la suite de la conférence de presse qu’ils ont tenue plus tôt dans la matinée.



