
(…)
Les nationalistes sont plus critiques : « La situation est très préoccupante, au plan humain et sociétal, mais elle ne doit pas appeler de réaction sur le coup de l’émotion, ni d’agitation politicienne, en l’absence de nombreux paramètres »,affirme Christine Colonna, au nom de Femu a Corsica. Le groupe nationaliste préfère œuvrer au sein de la commission violence qui est de la compétence des élus.
De son côté, Corsica Libera pense qu’une manifestation ne résoudra pas le problème de fond : « En notre qualité d’élu, nous avons d’autres moyens que de descendre dans la rue pour enrayer la violence. Nous devons commencer par activer des outils qui sont à notre disposition en terme de développement économique, voter le Padduc par exemple, remettre la valeur travail au centre de la société. Nous avons besoin de créer les conditions d’une société sereine, pas d’incantation », argumente Véronique Sciaretti.
Faites passer l’information autours de vous en cliquant sur :

