
Première visitée, la Sedarc qui, confrontée à une compétitivité de certains pays d’Amérique du Sud, ne peut lutter à armes égales dans le domaine de la production de pruneaux. Le coût de la main-d’œuvre est l’un des arguments fondés de ce déclin mais il n’est pas le seul. La vétusté du domaine dédié à cette culture rend 150 hectares sur 300 pratiquement inexploitables tandis que le label IGP (Indication géographique protégée) finit de porter l’estocade.
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