
L’analyse à tirer de cette donnée statistique ? Un certain tassement dans la guerre qui agite le grand banditisme depuis la mort accidentelle de Jean-Gé Colonna, le 1er novembre 2006. « On note une montée en puissance jusqu’en 2009 puis une baisse significative les années suivantes », analyse Jean-François Lelièvre qui se refuse à entrer dans le détail des dossiers. « C’est le travail des magistrats », prévient-il.
En 2011, le fossé entre le traitement des dossiers liés au grand banditisme et ceux liés à la délinquance se creuse un peu plus.
Deux fois moins de résultats pour le grand banditisme
Le coordonnateur affiche un taux d’élucidation policière de 52 % pour les homicides et tentatives. Il faut entendre par là des affaires criminelles ayant abouti à des mises en examen, non des personnes ayant été définitivement condamnées.
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