
Objectif, soutenir Me Frédérique Campana visée dans un courrier qui est ressorti par ricochet dans une affaire où elle n’apparaît pas.« Le 5 octobre, lors de l’audience devant la cour d’appel de Montpellier, concernant son fils Guy Orsoni, nous avons eu avec le bâtonnier Romani la surprise de découvrir un courrier de l’administration pénitentiaire adressé au procureur d’Avignon », soutient Me Philippe Gatti.
Avant de citer le passage incriminant Me Campana : « La mère de Guy Orsoni qui est avocate lui faisait régulièrement passer de l’argent liquide et de la cocaïne car il est consommateur ».
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