
Le délai de deux mois est donc, de fait, supprimé. En clair, cela signifie que la quarantaine de personnes qui a trouvé abri dans l’ancien collège désaffecté de l’avenue Maréchal-Lyautey peut être désormais expulsée, du jour au lendemain, y compris au moyen de la force publique. Du côté des associations et des travailleurs sociaux qui tentent, au quotidien, de venir en aide à ces exclus, la déception était palpable avant hier matin.Source et suite de l’article
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