(FRANCE 3 CORSE) Deux mois de prison avec sursis ont été requis contre le chef d’entreprise, et 4 à 5 mois ave sursis contre les gendarmes mobiles, ce sont les réquisitions prononcées lors du procès des violences à la préfecture de Haute-Corse en juillet dernier.

Dans cette affaire, deux gendarmes mobiles étaient poursuivis pour « violence par personne dépositaire de l’autorité publique » et « violence aggravée ». Dans les deux cas les faits avaient été suivis par des ITT de huit jours. Un chef d’entreprise comparaissait également pour « outrage à une personne dépositaire de l’autorité publique » et « rébellion en réunion ».


