ça suffit, ce n’est plus supportable ! » Hyacinthe Mattei, président de la communauté de communes du bassin de vie de L’Île-Rousse (CCBVIR) ne décolère pas. Autour de la table pour une conférence de presse spéciale, Jean-Jo Allegrini-Simonetti, maire de L’Île-Rousse, Paul Lions maire de Corbara ou Antoine Suzzoni, directeur des services techniques de la CCBVIR ne sont pas moins remontés. La cause de ce coup de sang ? Les tas de déchets qui s’accumulent un peu partout sur le territoire. La cible : certains usagers et professionnels dont l’incivisme pourrit l’environnement et la vie du personnel en charge de la collecte. Sans oublier celle des riverains qui respectent les règles. « Le système du tri sélectif fonctionne de mieux en mieux. Mais pour la collecte des encombrants, certains ne respectent rien », explique le président de la CCBVIR.
Coût d’exploitation : 1 200 000 ? chaque année
Les tas d’objets, machines ou meubles en tout genre s’accumulent devant les points de collecte du tri sélectif, rendant parfois leur accès impossible.