Ajaccio, première. Si l’on considère que l’écrasante majorité de l’électorat se situe dans la cité impériale, on comprend que la clé de l’élection se trouve à Ajaccio. Une cité impériale avec six cantons qui englobe dans sa grande ceinture 49 communes réparties dans quatre autres cantons (Celavu Mezzana, Cruzini-Cinarca, Deux Sevi et Deux Sorru).

Ici, l’enjeu est simple : le député maire de gauche Simon Renucci tente de surfer sur la vague rose en briguant un troisième mandat (quatre fois candidat), mais la droite a bien l’intention de s’y opposer et les nationalistes d’affirmer leur poids. Simon Renucci appelle à la mobilisation, car il sait que perdre la députation, ce n’est pas se mettre dans les meilleures conditions pour les prochaines municipales. En face, chez les nationalistes l’heure est à l’espoir et à droite le temps est à la reconquête.
La famille libérale, unie autour de Laurent Marcangeli, veut récupérer un siège sur lequel elle avait une emprise historique, qui plus est sur un territoire largement acquis à la droite.
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