Après le meurtre intervenu mardi, le village du Taravo s’est réveillé mercredi anéanti. L’enquête explore les causes de ce litige privé. Le tireur, qui s’est rendu peu après les faits, évoque la «légitime défense».

Deux versions contradictoires
L’homme qui s’est accusé d’avoir tiré s’est rendu sur le champ aux forces de l’ordre sans opposer de résistance. Sur place, les techniciens de l’investigation criminelle ont relevé dans la soirée cinq étuis de calibre 7,65 mm, l’arme utilisée par le tireur. « La victime a été touchée à la tête et au bras, mais il faudra attendre l’autopsie qui aura lieu jeudi à Ajaccio pour en savoir plus sur les circonstances exactes », a indiqué hier Guillaume Saint-Cricq, le substitut du procureur.
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