
La moitié de ces attentats, qui ont un « caractère terroriste », ont entraîné la saisine du parquet antiterroriste de Paris. Les autres entrent dans le cadre de différends privés et de conflits commerciaux, selon Paul Michel. Le « travail de base » pour limiter le nombre des assassinats demeure la lutte contre la circulation des armes. 285 armes ont été saisies par la police et la gendarmerie en 2011, contre 221 en 2010. Le procureur général, qui quittera Bastia cette année pour Toulouse, a indiqué que les démineurs de la Sécurité civile avaient détruit 500 armes de première et quatrième catégories en décembre dernier.
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