
Le 23 juin dernier, revenant à la tribune de l’assemblée de Corse sur le verdict (réclusion criminelle à perpétuité) prononcé contre Yvan Colonna dont il était l’un des avocats, Gilles Simeoni avaient affirmé que des policiers avaient menti sous serment. D’où le procès en diffamation qui lui a été intenté par le n°2 de la direction centrale des renseignements intérieurs qui était chef de la DNAT au moment de l’enquête visant à retrouver la trace du berger de Cargèse. Le 17 octobre, le tribunal correctionnel d’Ajaccio avait considéré que cette citation était entaché de nullité. Une décision dont l’avocat de Frédéric Veaux avait fait appel.Source et suite de l’article
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