(Corse Matin) D’un côté, ceux (majoritaires)qui n’ont quasiment pas loupé une séance. De l’autre, ceux que l’on ne repère qu’à la loupe. Si durant cinq ans le cercle de l’hémicycle a révélé certains élus, il en a englouti d’autres. Sans appel
En attendant, nous livrons ici une radioscopie de ceux qui ont fait le buzz de l’assiduité durant les cinq années de l’ère giacobbiste. Et de ceux qui, a contrario, n’ont pas beaucoup appuyé sur le champignon. Car, c’est aussi cela, le risque du cercle : y tourner en rond et en ronronnant, ne pas supporter qu’il se resserre et choisir d’en sortir pour faire bande à part, s’y enfermer jusqu’à l’oubli, y tomber dans une quadrature vicieuse.
Présents, absents, voici donc ce que révèlent les chiffres de l’appel à l’occasion de 61 sessions publiques recensées entre le 20 avril 2010 et le 1er octobre 2015. Auxquelles nous avons ajouté les 11 séances plénières, permettant à l’Assemblée de débattre à huis clos et en amont. Soit un total de 72, sur lequel nous nous sommes basés.
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