
Car c’est aussi de cette capacité à être de justes maîtres en la matière que dépend la bonne santé de l’enseignement dans l’île. Interview avec une conseillère exécutive qui ne s’était plus exprimée depuis sa démission de l’Odarc.
En jetant l’éponge de vos précédentes fonctions, vous avez tiré des enseignements ?
J’ai fait mieux. J’ai tourné la page ! Définitivement. Et sans aucune séquelle…
Vous venez de présenter votre feuille de route. Un constat à la base ?
Sûrement. Qui consiste à dire que l’actuelle politique en matière d’Éducation nationale – et la grève des enseignants du 28 septembre le démontre – ne priorise pas, justement, l’éducation. A la clé, suppression de postes, de personnels d’encadrement, diminution drastique des budgets, etc. À l’opposé, la CTC a fait de l’éducation une priorité absolue.
Faites passer l’information autours de vous en cliquant sur :

