
Mis en cause lors de cette intervention plutôt inhabituelle dans l’hémicycle, Frédéric Vaux, directeur adjoint de la sécurité intérieure, a en effet décidé de poursuivre le plaideur devant le tribunal de grande instance d’Ajaccio pour « diffamation publique ».
Gilles Simeoni, avait pris la parole en séance publique, à l’issue des questions orales, devant un auditoire assez partagé sur l’initiative, et longuement fustigé les conditions dans lesquelles l’affaire Colonna a été instruite et jugée.
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