Le président du tribunal de commerce, et le procureur de la République ont exprimé des doutes sur le bien fondé de l’action de la direction de la SNCM. En clair, la crainte est que l’actionnaire principal, Transdev, ait organisé la démarche sans y être obligé.

Il s’est également dit « surpris d’entendre que la cagnotte du Napoléon-Bonaparte » (constituée par le remboursement des assurances suite à l’avarie et la vente du navire tel que) ait dû être totalement absorbée afin « d’assurer la continuité de l’activité ».

