
Interrogée par l’AFP, la présidence de la République a répliqué que ces accusations étaient « infondées, mensongères et scandaleuses ». Dans « Sarko m’a tuer » il est également question de l’affaire Clavier : le 30 août 2008, à Porto Vechio, la villa de l’acteur avait été occupée par des nationalistes et des associations de défense de l’environnement.
Une action qui n’avait pas du tout été du goût de son ami Nicolas Sarkozy. 2 jours plus tard, le coordinateur de la sécurité en Corse, Dominique Rossi, était démis de ses fonctions. Ma grande faute est de ne pas avoir su que le jardin de la villa de Christian Clavier devait être protégé au même titre que la pelouse de l’Elysée, dit-t’ il dans son entretien avec les auteurs de cet ouvrage.
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