
Difficultés financières
Pour justifier ce changement d’attitude, la direction du groupement d’entreprise Bec-Razel avance des difficultés financières sur ce chantier. « Ils perdraient 50 000 euros par mois, selon nos informations » estime Jean Santucci, porte-parole des salariés. Actuellement soixante salariés sont sur ce chantier, Razel-Bec n’en conserverait qu’une quinzaine au mois de septembre. « Le chantier va avancer au ralenti et les délais de livraisons ne pourront être respectées » explique Jean Santucci qui a le sentiment d’être pris en otage dans ce bras de fer financier qui oppose le sous-traitant au maître d’ouvrage, EDF.
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