 Une résidence en construction de 15 villas de luxe avec piscine  qui empiète dans la bande des cent mètres, c’est ce qu’ont dénoncé une centaine  de militants d’associations de protection de l’environnement et de nationalistes  qui se sont rassemblés, ce matin, dans la baie de Santa Giulia. Des  constructions légales et autorisées par le PLU de Porto-Vecchio.
Une résidence en construction de 15 villas de luxe avec piscine  qui empiète dans la bande des cent mètres, c’est ce qu’ont dénoncé une centaine  de militants d’associations de protection de l’environnement et de nationalistes  qui se sont rassemblés, ce matin, dans la baie de Santa Giulia. Des  constructions légales et autorisées par le PLU de Porto-Vecchio.
Santa Giulia, zone urbaine
Le 30  Juillet 2009, la majorité municipale de Porto-Vecchio adopte le PLU. Ce document  d’urbanisme stipule que le secteur de Santa Giulia, à partir de la parcelle  appartenant aux consorts Sollacaro-Vespérini et jusqu’à l’hôtel Moby Dick est  une zone urbaine (voir PLU ci-dessous) et pas soumise à la loi littoral, exit  l’inconstructibilité dans la bande des cent mètres. « Il y avait des  constructions existante et nous avons tenu compte de l’ensemble des jugements du  tribunal administratif qui précisaient que cet espace pouvait être considéré  comme urbanisé » explique Georges Mela, maire de Porto-Vecchio.
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