
Après la polémique dans le collège « cinéma », l’histoire se répète dans le collège « promotion de la musique et de la danse et organisme représentants les créateurs compositeurs de musique et de chant corses ». On se préparerait pour la même bataille dans le collège « éducation populaire », mercredi. Une première dans l’histoire du CESC qui n’a connu jusqu’à présent que des élections sans conflits ouverts.
En cause : le vide juridique autour de la définition de l’inscription des associations sur les listes électorales. Ce flou se retrouve également dans la désignation des représentants au CESC. « C’est la loi de la jungle », confie Dominique Yvon, candidat malheureux dans le collège « musique ». « Il n’y a aucune règle », regrette Dominique Tiberi, présidente de CFP. « On confond représentation et autoproclamation », ajoute-t-elle. La journée d’hier a été éclairante. Elle a débuté à la Drac avec le monde du cinéma corse.
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