
Il est aujourd’hui bloqué par l’intransigence des pouvoirs publics qui utilisent ses CRS contre des syndicalistes. Les groupes politiques de l’Assemblée de Corse qui s’étaient prononcés dans le sens des revendications syndicales doivent tous prendre leurs responsabilités.
Pour notre part, la question d’une hausse notable du coefficient géographique (dotation supplémentaire destinée à compenser les surcoûts) est incontournable, de même que la remise à niveau de l’hopital de Bastia, le financement d’un nouvel établissement public à Aiacciu, et la prise en compte de la dépendance des personnes agées.
La situation actuelle ne peut qu’engendrer une privatisation accrue, porteuse d’une santé à deux vitesses, l’une pour ceux qui ont les moyens de payer, et l’autre au rabais, pour les plus démunis. La question de la formation professionnelle du secteur de santé ne peut être non plus écartée afin de stopper la décorsisation des emplois que l’on observe actuellement.
Il s’agit, par la mobilisation de tous, de faire aboutir la revendication d’une véritable politique de santé au service de la Corse et des corses.
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