Le conflit social aux Chemins de fer de la Corse s’est invité à l’assemblée de Corse. Le refus du président de l’OTC de renécogier l’accord a provoqué la colère des grévistes et une crise politique dans la majorité.

Hier, l’assemblée de Corse a été tirée de son train-train habituel avec le conflit aux Chemins de Fer de la Corse. Pendant que les grévistes CGT étaient à « quai » à l’extérieur du bâtiment, Marie-Antoinette Santoni Brunelli a mis le feu aux poudres en interpellant vertement le président de l’office des transports : « Vous faites preuve de surdité pendant que votre collègue, Michel Stefani, président de la SEM des CFC, en appelle, par voie de presse, à l’ouverture des négociations ». L’élue du groupe Rassembler pour la Corse a dénoncé les divergences de la majorité qui entretiennent une situation de blocage. « Je n’ai pas disparu », a répondu Paul-Marie Bartoli, faisant allusion à son silence médiatique depuis quinze jours.
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