Dans une semaine se tiendra l’assemblée générale de la chambre. Avec des élus encore sous le choc. Et un fauteuil vide. Celui de leur président. Auquel il faudra un successeur. Les statuts donnent 2 mois.

Il fallait, presque comme un devoir, se souvenir de ces mots. Ceux de Jacques Nacer. Prononcés à l’aube de la nouvelle année. Presque un an en arrière. Il fallait s’en souvenir parce que, au-delà de sa mort, ils rappellent l’homme qu’il était. Et non pas sa volonté, mais bien plus sa pugnacité – nul ne pouvait douter de la sienne – à croire que le champ des possibles économiques était ouvert. Même en Corse. Surtout pour la Corse.
Corsica Infurmazione, L’information Corse
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