(Revue de presse – Corsicainfurmazione.org – Publié le 29 octobre 2025) l’autonomie de la Corse, pourtant promise par Paris, est à nouveau reportée sans échéance claire.
Les discussions avec l’État piétinent, laissant les élus locaux frustrés face à l’immobilisme gouvernemental. Entre promesses creuses et délais infinis, l’île voit son espoir d’émancipation repoussé aux calendes grecques.
La revendication d’« autonomie » pour Corse, bien qu’affichée comme prioritaire, se retrouve reportée aux calendes grecques — autrement dit, à un avenir indéfini. Le texte décrit un contexte institutionnel complexe : des négociations avec l’État français, des discussions sur une révision constitutionnelle, mais aucune avancée réelle concrète pour que la Corse obtienne les compétences étendues qu’elle réclame.
Malgré l’engagement affiché des élus locaux et des mouvements en faveur d’une autonomie accrue, il souligne le blocage persistants des mesures législatives et organiques nécessaires. L’attente s’allonge, l’impatience grandit, et il met en lumière la frustration de ceux qui considèrent que l’île reste sous-servie, sous-dotée, et exclue des véritables leviers de décision. En somme : l’autonomie promise se meurt dans les limbes administratif et politique — tandis que la Corse continue d’attendre, sans que les annonces ne se traduisent en actes.
(Alta Frequenza)
(FR3Corse)
(Corse Matin)
(Corse Net Infos)
(RcfM) Les promesses n’engagent, dit-on, que ceux qui y croient. Les partisans de l’autonomie de la Corse risque d’en faire l’amère expérience.
(Stampa Paese)
(Journal de la Corse)



