Après quinze mois d’activité, la stratégie de relance paye. Effaçant les années noires et faisant repartir sur des bases saines un outil essentiel à l’économie corse. Qui mérite qu’on lui porte intérêt

D’autre part, du fait de choix de développement qui se sont avérés peu adaptés. Reste qu’il est facile de jeter la pierre après coup. En 1995, la Cadec et sa filiale Corsabail cessent tout financement. Mais avec un encours de crédit qui continue à être remboursé. En 1997, la nomination de François Dominici distribue une nouvelle donne. Payante. C’est ce que confirme le bilan dressé, hier matin, par le président du conseil d’administration accompagné du directeur général, Alex Vinciguerra.
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