En Corse, le Front national n’est pas sorti de nulle part. Il a participé, avec la droite classique, à la gestion régionale des affaires de l’île et a eu des responsabilités importantes dans certaines municipalités.

Des questions sans réponse
Dans les partis traditionnels comme chez certains analystes, on ne s’explique pas les motivations de ce vote d’adhésion à une personnalité controversée et à des thèses jugées irréalistes. Une sanction contre le pouvoir en place ? Un simple avertissement avant de retrouver le droit chemin ? L’expression d’un désarroi social ? La peur de l’immigration, celle de l’insécurité ? La nostalgie d’un État fort, qui refuse la loi des marchés et celle de l’Europe ?
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