
Depuis février 1992, date à laquelle Marie-Antoinette Guelfucci avait été tuée dans le Cortenais, les assassins ne pointaient plus leur canon sur les femmes. Certains y voient un code sacré des voyous. D’autres simplement de la décence. C’est là un interdit de la société insulaire qui a donc été violé. Et il ouvre la porte à bien d’autres dérives repoussant les limites.
À bien des égards Marie-Jeanne Bozzi n’était pas seulement une femme. Son courage, son engagement et sa détermination, dans sa carrière politique (ancien maire et conseiller général) tout comme face à la justice forçaient le respect.
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