Un nouvel épisode de l’affaire se joue au plan civil aujourd’hui devant le TGI d’Ajaccio. Le tribunal devra statuer cette fois sur le fond, en examinant la nature du – désormais fameux – droit de passage.

« Une saga, une chanson de geste »
La justice ouvrira une fois de plus un chapitre de l’inénarrable « chanson de geste ou saga » de Murtoli, ainsi que la qualifie l’un des avocats d’Anne de Carbuccia, le bouillonnant Me Jean-Pierre Versini-Campinchi, qui demande 3 millions d’euros de dommages et intérêts. « Depuis 2005, elle a été empêchée d’accéder à sa maison, M. Canarelli lui a d’abord interdit de passer, puis il a changé les serrures », constate l’avocat qui déplore que la maison-tour soit devenue une ruine « en raison d’un dégât des eaux dont Paul Canarelli est responsable ».
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