
Là, pour la première fois, une femme a été visée dans le cadre d’un « vrai » règlement de comptes, parfaitement ciblé comme ceux qui, ces dernières années, ont touché nombre de personnalités appartenant au milieu, où jugées, à tort ou a raison, proche de telle ou telle figure marginale. En somme, qu’on le veuille ou non, c’est une première et une nouvelle étape dans la violence insulaire.
Une escalade qui bouscule la « morale corse », ou plutôt ce qu’il en reste. Puisque les tabous locaux faisaient que l’on ne s’attaquait pas aux femmes, pas plus qu’aux enfants.
Source et suite de l’article http://info.club-corsica.com/soc_140_001.html

