
Secrétaire général du syndicat CGT des marins de la compagnie, Frédéric Alpozzo fait le tour des questions.
D’abord sur un plan personnel, quelles sont les suites aux menaces de licenciement pour faute lourde qui pesait sur vous après l’occupation du Corse à Toulon ?
La procédure est en cours. L’inspection du travail a été saisie. La direction estime que je ne suis pas un élu des salariés. Je suis membre du conseil de surveillance de la SNCM et à ce titre la direction m’avait demandé d’abandonner mon mandat au comité d’entreprise… En nous écartant, avec le secrétaire du CE, Marcel Faure, la direction pense pouvoir poursuivre ses projets funestes.
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