
Quelque 400 pages fournies, retraçant les visites de ses équipes pour vérifier les conditions de vie dans les établissements privatifs de liberté (les prisons évidemment, mais aussi les hôpitaux psychiatriques, les centres éducatifs fermés pour mineurs, les geôles des tribunaux, les locaux de garde à vue, les centres de rétention et zones d’attente pour les sans-papiers).
Il s’en est fallu de peu pourtant pour que ce rapport soit le dernier. La fonction de contrôleur général des prisons, créée en 2008 par Nicolas Sarkozy, a bien failli disparaître, absorbé comme la Halde et le défenseur des enfants dans le grand ensemble fourre-tout du défenseur des droits.
Source et suite de l’article sur http://www.liberation.fr/societe/01012335160-les-detenus-souffrent-du-manque-d-intimite

