
Dès lors, lorsque l’entreprise Pifferini, en phase d’acquisition d’un hectare de terrain, propriété de la commune, débute les travaux de destruction du bâtiment, l’idée d’une stèle du souvenir rappelant ce qui fut considéré par certains comme un véritable tournant politique dans l’île, se repose avec acuité.
Le site qui est appelé à devenir zone artisanale et commerciale, dans le cadre d’une politique économique indispensable au développement du territoire, impose la destruction de la cave viticole.
100 m² réservés pour le monument
Un espace d’une centaine de mètres carrés sera réservé à la construction d’un monument ou d’une œuvre artistique moderne dont la physionomie n’est pour l’heure pas encore déterminée. Une chose est sûre : bien que les souffrances et le sang aient à jamais marqué l’endroit, la stèle qui sera érigée en ces lieux, sans éluder l’histoire, sera porteuse d’un espoir, celui d’un avenir construit dans l’échange et la paix.
Photos Antò Simonpoli TDR
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